18 novembre 2009
Commencez sans moi
Ne m'attendez pas pour déjeuner, je suis au portail, je guette l'arrivée de l'ambulance qui va me rendre la moitié la plus précieuse de la chimère qu'Épouse-Redressée et moi formons depuis trente à quarante années.
Ne soyez pas inquiets, le vent souffle modérément et je m'appuie au muret ; j'en ai bientôt fini de claudiquer.
Publicité
Publicité
Commentaires
F
V
M
T
P