18 janvier 2012
Garanti sans acide sulfurique
Il y a bien longtemps que je n’ai plus pleuré en épluchant un ognon.
Presque aussi longtemps que je n’avais commencé une phrase par “Il y a”.
Certes, 2011 ne fut pas une année prospère pour les Papistacheries, mais la locution m’a sûrement échappé plus d’une fois depuis leur ouverture en janvier 2008 alors que les larmes point.
En revanche, que je termine une phrase par point — voire un point, mais, ça, comment y échapper ? — est un usage auquel je sacrifie volontiers.
“Point” est un mot qu’on peut placer aisément en début de phrase ; tandis qu’à la fin, il est rare d’y coucher une majuscule. Tout comme terminer un billet insipide sur les ognons par “il y a“.
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