Si vous trouvez un jeu plus facile sur la toile, Papistache vous rembourse deux fois la différence
Je descendais l’escalier quand, lumineuse, l’idée me vint. Dommage, si j’avais su, j’attendais trois secondes et j’évitais d’allumer l’ampoule. Encore une belle occasion perdue de sauver la planète !
L’ambiance est ludique en ce moment sur les blogs. Non ?
Alors ! J’ai décidé d’organiser un jeu facile.
Un jeu où personne ne serait mécontent d’arriver en retard pour donner sa réponse, ou le premier pour du beurre ou le douzième mais sans solution.
Voilà ! J’offre, à tous ceux qui m’enverront leur adresse postale, une superbe carte du Perche avec mon propre ADN au dos du timbre.
C’est tout.
Pas de rébus.
Pas de “quicollequi”.
Pas d’énigme.
Pas de page 123 d’un livre quelconque à deviner. J’ouvre une parenthèse. Oh, là, là, le JdJ ! Quel cauchemar ! Je ne lis jamais les pages impaires des romans. Jamais. Comprenez que je tiens mon livre dans la main gauche et que je laisse défiler les pages de droite en les retenant du pouce de la même couleur. Ce qui fait que les pages impaires échappent à ma lecture, mais pas à ma compréhension. Ce qui fait que je n’ai jamais pu tenter le moindre commentaire chez Walrus autour de ses jeux littéraires. Je ne lis jamais les pages impaires. Jamais. Honnêtement, vous lisez toutes T.O.U.T.E.S les pages des romans que vous tenez en main, vous ? Pas moi. Jamais ! Fin de la parenthèse.
Un jeu d’une simplicité enfantine. Si vous n’avez pas compris écoutez Papistache-le-Jeune, il vous donne la marche à suivre.
Vous envoyez un courriel (ou un email, mais je préfère un courriel) à l’adresse suivante papistache@laposte.net dans lequel vous joignez votre adresse postale (ou celle de votre voisine si vous ne voulez pas de mon ADN) et le facteur vous apporte avec les croissants (si c’est son habitude) votre lot au jeu puéril du vieux Papistache.
PS : Comme je ne tiens pas l’écran de mon ordinateur de la main gauche vous pouvez écrire ou bon vous semble, je lis de gauche à droite et de haut en bas ( et je saurais déjouer les facéties des facétieux qui, voulant contourner les instructions, s’ingénieraient à écrire de bas en haut et de droite à gauche, en chinois, je ne peux pas...).
Oh ! Ça fait du bien !
C’est mille fois plus facile à réaliser qu’un rébus !
Ah ! Je suis content ! Tiens, je reprendrais bien une demi-chartreuse de Parme.