26 décembre 2008
Il suffira de mettre le gâteau à la fenêtre, le vent du nord aura raison de la flamme des bougies assassines
Sur le chemin, c’est la rue Pierre Ronsard, qui mène au centre ville, un jardinet, cousin du mien, mais aux mains d’un petit couple de jeunes gens rétifs au maniement de quelque outil qu’il soit, offre aux regards des rares passants, qui s’aventureraient...