16 janvier 2008
Qui frappe à mon huis ?
Eh ! Bien le bonjour ! Vrai, si tôt, je pouvais rester au lit à fainéanter — faignanter, comme je disais enfant — et je me suis levé pour saluer les visiteurs matutinaux — tout en sachant que, de bon matin, rares sont les curieux qui frappent à mon huis...