dimanche 25 mars 2012
Où l'inspiration se cherche et se trouve sous le pas d'un cheval

dimanche 3 octobre 2010
Abillet
Paradoxe : un jour sans texte, un jour abillet* et la page est toute nue.
*le "a" privatif wich is allways placed at the beginning of a word means the loss of something /aphasie:the loss of the language /agueusie:the loss of the taste /those are sickness
jeudi 30 septembre 2010
Mots volés
« ... moi, de toutes façons, je n’ai pas de cerveau... » et derrière, un petit rire joyeux.Une jeune femme au bras d’une amie, croisée sur le trottoir... et si c’était la clé du bonheur !
vendredi 17 septembre 2010
Si j’avais deux chats que j’en égare un et que je veuille plagier un nouvel auteur, je dirais : Où est le roux ? j’ai le noir.
Mais de chats (pas les deux miens) je n’en ai point, même si un rouquin hante, nuitamment, les allées désertes du jardinet que l’ampoule incandescente du seul lampadaire de la rue inonde d’un millimètre de lumière (les millimètres vous en avez soupé assez hier, je passe) ; le roux, donc, je le vois s’enfuir mollement à mon approche tandis que le gris (excusez-moi, je l’eusse préféré noir pour donner un peu de crédit à mon titre emprunté, mais il n’est que gris ) bondit comme un diable au moindre de mes mouvements ; donc n’ayant point... [Lire la suite]
mercredi 8 septembre 2010
Tentative embryonnaire de gesticulation sur un câble tendu entre une journée de grève et la tournée manquée des éboueurs
Après une longue journée sans nouvelles de mes ipomées, tandis qu’Épouse-Au-Volant entre la voiture au garage, pour une consonne de plus, je rentre les poubelles, lesquelles j’avais sorties la veille à la nuit tombée. Ouvrons une parenthèse ( Le pluriel vous étonne ? Comment ? Un couple à l’appétit si chiche emplirait plusieurs poubelles la semaine au point d’en sortir, pour le moins, deux au mardi sonnant ? C’est qu’ici comme ailleurs, le tri sélectif impose le compartimentage des déchets.) Fermons la parenthèse.Mon bras arrête... [Lire la suite]
dimanche 2 mai 2010
Un billet qui ne mange pas de pain
Proverbe : « Jamais deux sans trois.»Non, ce n'est pas mon projet pour le défi de samedi prochain. Tiphaine la première, puis Valérie tirent l'argument de leur dernier billet d'une anecdote vécue dans un lieu de restauration rapide. Je vais les imiter et conter mon expérience de l'enseigne internationale.Ce sera vite fait : Je n'y ai encore posé ni semelles ni moustaches !Le proverbe en a menti : il sera calomnié* !* A moins qu'un lecteur pris de pitié ne me vienne en aide auquel cas je lui cèderais ma tribune.
mardi 27 avril 2010
Promesses d'abstème
Tous les matins, je...Non ! pas tous les matins, certains seulement.Certains matins, je...Tsss, tsss, tsss, c’est bien vague.Chaque matin qui me voit longer la départementale 25...Longer ? non, parcourir.
Souvent, le matin, quand je me rends à mon travail, je suis admiratif du paysage champêtre que la brume et la lumière rasante magnifient ; je me promets de me planter à tel endroit pour photographier les prairies bordées de grands arbres, un jour où nulle obligation professionnelle ne me fera relever la manche de ma veste sur... [Lire la suite]
jeudi 22 avril 2010
Ceci n'est pas un billet consacré au thé
Nul ne sera surpris si j’avoue tirer l’argument de mes billets dans l'infiniment petit. Ma bannière n’annonce-t-elle pas la couleur ?« Vains petits écrits »À ce propos, je trouve la réclame un peu prétentieuse. Non, prétentieuse ! Pas « un peu ». Je médite de la supprimer. « Papistacheries » suffirait.Nous verrons. VOUS verrez !De petites choses. Toutes petites. De ces choses qui ne retiennent l’attention que des gens qui ne s’intéressent qu’aux petites choses. Un sucre. Un sachet de... [Lire la suite]
samedi 27 mars 2010
Inversement proportionnel
Déjà samedi.
Mon agenda est boursouflé* : je perds du poids. Trop ! s'alarme Épouse-Épousée.Descente inexorable. Jusqu'où ?Jadis, j'écrivais un billet quotidien et j'en commentais vingt.
* boursoufflé : orthographe de 1990* boursouffflé : orthographe révisée à l'aune de mon agenda 2010