pirouette

Hier, n’étions-nous pas vendredi ? Et je m’aperçois que nous sommes présentement vendredi. Mais si vendredi ? alors hier, nous aurions dû être jeudi ? Or, non, je cherche et ne trouve que vendredi dans mes souvenirs. Vendredi hier et vendredi ce matin.La semaine ne serait-elle plus composée que de vendredis ? Non, ma raison refuse de croire à cette contraction temporelle. Serait-ce que je n’imprimerais plus que les vendredis ? En fait, non. Si j’écrivais ce billet un samedi, ça donnerait à peu près ceci : Hier, n’étions-nous pas... [Lire la suite]

Monsieur et madame P. réclament un peu d’intimité. Le mal est nommé, il sera plus aisé à combattre. Laissons-les débrouiller seuls leur écheveau. Leur vie commune a traversé d’autres rapides. Ils passeront celui-ci. D’ailleurs, il n’est pas exclu que nous les retrouvions plus tard. Rien n’est à exclure, surtout pas les lubies de l’auteur.Pascal, Patricia, au revoir. Nous avons aimé partager une semaine de votre existence.La seule idée que j’avais en commençant ce feuilleton était ténue. “Un œuf devra symboliser le monde virtuel de la... [Lire la suite]

Terrassé, le Papistache pique du nez devant son écran. Il s’éveille, ses lunettes sont tordues. A pas lourds, il se rend vers le robinet du lavabo de la salle de bains — oh, là, là que de “d”— les touches du clavier ont laissé leur empreinte sur sa joue droite. Il a dû dormir longtemps. Il se sert un verre d’eau et le recrache... sa joue gauche porte également la marque des touches du clavier. Il a bougé pendant son sommeil !Non, mais, vous avez lu : Le Papistache a bougé pendant son sommeil !Quoi ?C’est tout l’effet que cela vous... [Lire la suite]

Val trouve que la trombine qui suit me ressemble assez.  *<;o{ )Cliquez voir !

Qui donc m’a laissé entendre que vous en auriez soupé de mes histoires de couteaux ?Souper d’un couteau !Ce n’est pas banal !Souper aux chandelles, c’est connu et pratiqué également sous nos climats. Mais souper  des couteaux. Cela me fend le cœur. Comme ça, soudainement, fendu, comme d’un coup de canif au bas d’un contrat.Allons donc, que je jette l’éponge et change de sujet ! Je ne retournerai pas le poignard plus longtemps dans la plaie. Foin des hostilités, sabre et dague au vestiaire. Ne joutons plus, ni à fleuret moucheté... [Lire la suite]