17 septembre 2010
Si j’avais deux chats que j’en égare un et que je veuille plagier un nouvel auteur, je dirais : Où est le roux ? j’ai le noir.
Mais de chats (pas les deux miens) je n’en ai point, même si un rouquin hante, nuitamment, les allées désertes du jardinet que l’ampoule incandescente du seul lampadaire de la rue inonde d’un millimètre de lumière (les millimètres vous en avez soupé assez hier, je passe) ; le roux, donc, je le vois s’enfuir mollement à mon approche tandis que le gris (excusez-moi, je l’eusse préféré noir pour donner un peu de crédit à mon titre emprunté, mais il n’est que gris ) bondit comme un diable au moindre de mes mouvements ; donc n’ayant point de matous à moi vous comprendrez l’usage du conditionnel dans le titre du présent billet.
C'est tout !
To the happy few.
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Commentaires
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