Honte, honte, honte à moi...
Aujourd'hui, juste après le déjeuner, je me donne un quart d'heure pour trouver, dans ma flore, la variété de cette orchidée photographiée dans le parc du centre médical.
Horreur et putréfaction, ce n'en est pas une.
J'aurais voulu corriger mais à 17 heures je prenais directement la route. Mamoune m'attendait pour 18 h 15.
Sur la route du retour, je lui explique ma confusion et lui dis que je m'attends à ce qu'une, au moins, des lectrices me fasse observer mon erreur.
— Tu penses à Tilu, me souffle-t-elle !
O R O B A N C H E
Voici quinze jours, j'avais cru apercevoir une asperge d'un nouveau type et hier une orchidée.
J'aurais dû téléphoner à Tilu, je me serais évité un ridicule.
Je ne suis pas botaniste mais curieux et cette plante, que le guide donne pour assez commune, je n'en avais jamais vu. Jamais entendu parler. Jamais mon œil ne s'était arrêté sur son image en feuilletant flore ou albums photos.
O R O B A N C H E
Je répète pour mémoriser.
Une plante parasite des genêts. Genêts qui poussent en abondance dans le parc en question au début de ce billet de flagellation
Je vais devoir corriger : la dame de mes orobanches.
Je préférais la dame de mes orchidées. D'autant que la plante se serait laissé appeler, autrefois, le pain des lapins.
La Dame de mon pain des lapins !
Ce blog, décidément, devient n'importe quoi.
Je répondrai aux commentaires après une (forcément) bonne nuit de sommeil.